"La peinture abstraite comme passeport pour l'imaginaire"
Patrice Bru est originaire d'Albi, Chef-lieu du Tarn. C'est en classe de cm2 qu'il a découvert les bases du dessin et de la peinture à la gouache.
Quelques temps après, un chevalet de campagne, quelques tubes de couleurs à l’huile et des cartons entoilés reçus en cadeau allaient déclencher en lui une réelle passion pour la peinture.
L'inévitable période de copies d'œuvres passée, Il se lançait, motivé, dans ses propres créations, avec toutes les erreurs permises à un autodidacte débutant avec l’espoir de pouvoir s’inscrire à l’école des Beaux-Arts de Toulouse.
Malheureusement, l’éloignement impliquant des contraintes insurmontables, il dût se résoudre, l’âme en peine, à poursuive un cursus d’études classiques.
C'est ainsi que diplôme en poche, il quittait le Tarn pour Lyon et y débutait sa vie professionnelle
Durant cette période d'activité, fidèle à sa passion, il réservait quelques moments privilégiés à son art qu’il poursuivit après son retour dans sa région d’origine.
En 2018, sonnait l’heure de la retraite et son corollaire : le passage délicat d’une vie active très intense, riche de contacts humains, à l’inactivité dans le calme d’un petit village du Gers, avec toutefois la possibilité de se consacrer pleinement à son art.
Un an après il décidait de présenter ses créations au public lors d’expositions et s’inscrivait en qualité
d’artiste peintre contemporain, dans le même temps il appréhendait la peinture abstraite à laquelle il songeait depuis longtemps.
Au-delà de toute espérance, ce nouveau style prend désormais une part importante de son expression grâce à l’emploi des couleurs vives de l’acryliques et lui permet de donner tout son sens au mot création en même temps qu’il influe largement sur les créations figuratives réalisées parallèlement à l’abstrait.
Deux citations de peintres célèbres auxquels se réfère l’artiste peintre contemporain synthétisent sa pensée.
Pierre Auguste Renoir :
« Il y a dans la peinture quelque chose qui ne s’explique pas, qui est essentiel ».
Edward Hopper :
« Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre ».